L’idéal, selon les études, surtout pour les patients qui n’ont pas encore ni de l’emploi ni de logement, sont des structures post-thérapie, où ces patients après leurs traitements peuvent continuer d’être soutenus et encadrés pour leur réinsertion pendant qu’il vivent dans un environnement protégé exempt de drogues, d’alcool et comportements déviants.

Ces structures de la réinsertion prévient 60 à 70 pour cent des rechutes et veuillent à potentialiser par la motivation d’un suivi personalisé et structuré à un retour plus rapide à la vie active aussi bien que les patients soient responsable de leur propre actions. 

Nous aurons bientôt plus d’informations disponibles.

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